Une vie intense s'édifiait sur le pont de la «  Marie-Jeanne », un de ces derniers de Groix venus par quel hasard, finir sa vie dans les eaux fétides de la Seine.

Le destin nous l'avait envoyé, le destin nous l'a repris.

 

L'équipage y travaillait sans compter dans l'espoir de le revoir étincelant, retapé par l'ingéniosité et le songe. Vision fugitive du bateau au service d'une philosophie elle-même au service de ces adolescents qui deviennent hommes. Trait d'union quasi mystique de l'équipage, point de convergence, source inépuisable du travail assidu, de l'amitié et d'énergie.

​

(...)